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AVC Agissez !
Troisième cause de mortalité et première cause de handicap en France, l’accident vasculaire cérébral (AVC), peut être combattu efficacement avec une meilleure information du public. C’est pourquoi la Mutualité Française Nouvelle-Aquitaine s’investit aux côtés de l’Agence régionale de santé lors d’une grande campagne d’information, traditionnellement lancée en octobre.
L’AVC : troisième cause de mortalité
Troisième cause de mortalité et première cause de handicap en France, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) entraînent une surmortalité des moins de 65 ans en Nouvelle-Aquitaine. En moyenne 2 personnes sont touchées par un AVC toutes les heures et plus d’1 sur 3 gardera des séquelles invalidantes.
Une partie de ces AVC pourrait être mieux combattue ou évitée. C’est le rôle de l’information et de la prévention. En effet, pour eux-mêmes et pour leur entourage, il est vital que les Néo-Aquitains sachent reconnaître les symptômes et connaissent la marche à suivre face à une suspicion d’AVC.
« Un AVC touche en moyenne 2 personnes par heure en Nouvelle-Aquitaine et 10 personnes de moins de 40 ans par semaine. »
Pour lutter contre les AVC : la prévention
Depuis plusieurs années, l’Agence régionale de santé (ARS) Nouvelle-Aquitaine organise une campagne de communication et de prévention pour lutter contre les AVC. Pour la déployer, elle invite les acteurs du territoire à se mobiliser pour faire connaître les messages de prévention.
Pour informer et sensibiliser les Néo-Aquitains, la Mutualité Française Nouvelle-Aquitaine, tout comme les autres partenaires de l’opération intitulée « AVC Agissez, part à la rencontre du grand public ; l’occasion de rappeler ce qu’est un AVC, les signes avant-coureurs et les moyens de s’en prémunir.
AVC : NOUS POUVONS TOUS AGIR
Comment reconnaître un AVC ?
- Une faiblesse du côté du corps
- Une paralysie du bras, du visage
- Des difficultés à parler qui peuvent être accompagnés de troubles de l’équilibre, de la vision ou de maux de tête
Que faire ?
- Appeler le « 15 » pour être pris en charge, diriger vers les services de soins qui pourront dispenser le traitement adéquat.
Comment réduire le risque d’AVC ?
- Faire vérifier sa tension et son pouls au moins une fois par an chez le médecin
- Adopter une alimentation équilibrée et peu salée
- Avoir une activité physique quotidienne
- Arrêter de fumer.